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Auteur : Guillaume MOINGEON
Titre : Le passage de l’Île aux Moines
Éditeur : Cheminements, 2003, 2015
Avec de nombreuses photos
Etat : comme neuf
Dim. 22,5 x 24
150 pages
Retrace l’histoire des passeurs bateliers qui effectuaient les passages réguliers depuis le continent jusqu’à l’Ile aux Moines dans le Golfe du Morbihan, à travers les témoignages de passeurs retraités ou en activité et d’usagers. Le passage entre l’île et le continent a longtemps été assuré à la demande par des pêcheurs ou des ostréiculteurs, avant de devenir une liaison régulière en 1920. ©Electre 2020
« À cette époque, les communications terrestres étant lentes et malaisées, le passage vers l’Ile aux Moines se faisait entre la pointe d’Arradon et la pointe du Trec’h.
Nous n’avons pas retrouvé de traces de Port-Blanc comme « village » dans les recherches effectuées par le Chanoine La Marouille publiées au bulletin paroissial (archives départementales 1908-1950). Les villages cités au plus près Toulindac, Cardelan, etc.
Cependant, le cadastre napoléonien (réalisé entre 1808 et 1846 ) fait bien figurer le Port-Blanc et quelques maisons y apparaissent.
Une curiosité sur la plan d’assemblage de ce cadastre : le Nord n’est pas en haut de la page ….
Cependant, les feuilles détaillées de ce cadastre semblent bien avoir retrouvé le Nord
Port Blanc s’est surtout développé quand la liaison pointe d’Arradon – Le Trec’h a été abandonnée (voir ci-après l’ouvrage de G Moingeon sur les passeurs de Port-Blanc).
Le passage plus court, donc moins risqué, et l’évolution des moyens de transports terrestres semble avoir été décisifs.
Au départ c’était du transport de matériaux (vers 1894) puis le trafic passager s’est développé vers 1936 avec les premiers congés payés. Le Port-Blanc se développe alors avec l’ouverture du café des Algues.
Source : https://port-blanc56.com/ »
