Dernière mise à jour : 2024-07-24 16:18:49
 
Les prêtres qui ont exercé sur les îles étaient dans une situation particulière. Ils avaient moins de fidèles que leurs homologues du continent, mais ils étaient aussi le seul recours d’une population illettrée vivant isolée et dans des conditions difficiles. Chefs et représentants de leur communauté, ils protégeait les îliens contre les envahisseurs ou les débordements de garnisons. La vie des îles était organisée en théocratie centrée sur leur curé (charte des îles). Il fallait être un prêtre bien intrépide et profondément attaché à son prochain pour vivre misérablement (portion congrue et casuel) avec ses pauvres paroissiens. Il fallait aussi aimer les îles. Certains s’y sont trouvés bien, quelques-uns n’ont pas supporté et ont fui rapidement… Mes remerciements à Joseph MARQUER, Marcel BILY, Jean-Noël LANOË, Jean LE DUIN, André MOISAN, l’Abbé LUCO, Claude MAUFFRET, Madeleine DESROSEAUX, Louis LE CAM, Gwenn LE ROUX, Infobretagne.com et Wikipedia pour leurs ouvrages et leurs travaux.

Voici l’historique (EN CONSTRUCTION) des recteurs qui ont exercé leur ministère à Houat à travers les siècles, depuis Saint-Gildas jusqu’à nos jours…

Vers 538…

538-saint-gildas-rhuys-houatVers l’an 538 ou 539, des pêcheurs descendus sur Houat furent bien surpris de rencontrer un homme, vivant seul, n’ayant pour habitation qu’une petite cabane en forme de ruche d’abeilles. Les pêcheurs se trouvaient en présence de Gildas le saint. Il avait établit son ermitage dans le petit vallon nommé Lenn er Hoet (l’étang du bois) et bâtit à côté une petite chapelle pour y dire la messe. Après sa mort le 29 janvier 570, le monastère de Rhuys, où il était prêtre, entretint pieusement l’oratoire de Saint Gildas à Houat. Dès lors, l’histoire de Houat devint intimement liée à celle de l’abbaye de Rhuys…

À partir de l’an 1008

1008-abbaye-saint-gildas-rhuysEn 1008, le Père Abbé confia à Saint Félix la restauration de l’abbaye de Rhuys. Fondée en 399 par le roi Gradlon, l’abbaye de Rhuys avait été détruite par les Normands. A cette époque, les moines reprirent également possession de Houat et y établirent un prieuré, une maison où vivaient quelques uns d’entre eux.

En 1502

1502-anne-de-bretagneDes lettres patentes signées par Anne de Bretagne à Loches en janvier 1502, énumèrent, parmi les biens appartenant au monastère de Rhuys : « Les îles d’Houat et Hoedic, les îles et les terres de Glénan, en la mer, près de Cornouaille ». L’oratoire primitif du patron de l’île, dévasté par les Normands, fut rebâti au XXIème siècle près du vallon de Lenn er Hoet.

À partir de 1600…

1600-bapteme-jean-palmec-houatEn explorant les registres de Saint-Goustan de Rhuys au XVIIème siècle, on trouve un certain nombre d’actes concernant des habitants des îles : 6 actes de baptême entre 1600 et 1674, 12 actes de décès entre 1636 et 1682 et 14 actes de mariage entre 1641 et 1689. Le plus ancien semble être l’acte de baptême de Jean Le Palmec le 8 décembre 1600. Le prêtre qui officie est Laurent LAUDRIEC.
Le dimanche 3 décembre 1628, Pierre LE SEVEN, prêtre de la paroisse, baptise Olivier Mahéas, fils de Jean Mahéas et de Guillemette Le Roux.

En 1651

1651-cloitre-st-gildas-rhuysEn 1651, Messire Christophe NICOLAZO, recteur. Dans une note rapportée des registres de St-Goustan par le recteur Jean LE DUIN : « d’un acte passé le 13 juillet 1658 (…) Missire Christophe Nicolazo prestre estably pour le service divin aux isles de Houët et Hedich pour faire la fonction cruciale ». C’est le premier nom qui apparaît dans les registres de baptêmes, mais rien ne prouve qu’il est alors prêtre de la paroisse de Houat et sa date d’affectation au service des îles est inconnue.

Avant 1668…

1668-gildas-raoulDans son « Pouillé Historique de l’Ancien Diocèse de Vannes », l’Abbé LUCO, à l’article « Sauzon », parle « d’un certain Gildas RAOUL, de Saint-Goustan de Rhuys, chargé, avant 1668, de desservir les îles de Houat et Hoedic ».

Avant 1678 et jusqu’à 1682

1678-louis-le-hechoMessire Louis le HÉCHO. Né le 18 février 1650, ses parents sont Jean Le Hécho et Jeanne Largouet. En 1672, il est présenté comme diacre de la paroisse de Saint-Goustan de Rhuys. Le 8 août 1678, au baptême de Louis Daniello dont il est parrain, il est représenté par François Laudiec, ne pouvant être présent car « prêtre desservant aux îles de Houat et Hoedic ». Il décède à 32 ans. Inhumé dans la chapelle de Hoedic, l’acte de décès stipule : « Le troisième juillet 1682 mourut et décéda Messire Louis Le Hécho, prêtre servant aux Isles de Houat et Hoëdic despendant de cette paroisse et fut inhumé dans la chapelle de Hoëdic le dit jour et an ».

Jusqu’en 1696…

1696-berkley-moines-houatLa présence des moines à Houat semble avoir duré jusqu’en 1696, date à laquelle l’amiral Berkley, un anglais détruisit le prieuré et les massacra.
« Depuis cette relation écrite, le sieur Viart de Ladmirault, garde marine, que j’avais envoyé porter des munitions aux îles d’Houat et d’Hœdic, savoir l’état où elles pouvaient être réduites, vient d’arriver, qui m’a rapporté que la tour d’Houat avait été attaquée pendant 6 jours par plus de 3.000 hommes, que les ennemis avaient sommé l’officier cinq ou six fois par jour pour se rendre, sous peine de ne leur faire aucun quartier et avoir fait semblant d’élever un cavalier et y avoir mis des pièces de bois en guise de canon pour battre la tour, que cependant il avait toujours persisté à leur dire qu’ils fissent de leur mieux, et qu’il se défendrait jusques à l’extrémité ; que pareilles propositions et attaques avaient été faites à la tour de Hœdic pendant quatre jours sans aucun avantage ».

De 1685 à 1723

1685-antoine-fardel-pretre-houatMessire Antoine FARDEL, Originaire de Houat, il est le fils d’Olivier Fardel et de Catherine Le Palmec. Il est envoyé à Houat par le vicaire perpétuel de l’Abbaye de Rhuys Guillaume Raoult pour la tâche ingrate de récupérer les « droits de prémices », impôts ecclésiastiques que les habitants de Houat ne veulent plus payer. En 1696, Antoine Fardel soutient ses fidèles dans une dure épreuve : les îles sont dévastées par les invasions anglo-hollandaises. Il transforme en presbytère une maison qui lui appartient : « A Houat, il y avoit aussi un presbytère, c’était une fondation faite par Messire Antoine Fardel, ecclésiastique, curé de cette ile. Elle consiste en sienne maison ; il l’avoit léguée à son successeur, à la charge à eux de dire pour lui douze services (ou messes) par an ». Décédé en 1723, son ministère aura duré 38 ans !

De 1724 à 1729

1724-olivier-guimarho-cure-houatOlivier GUIMARHO, curé de Houat, succède à Antoine Fardel. Son premier acte déchiffrable est l’acte de baptême d’Olivier le Gurun. Pendant son ministère, il donne les derniers sacrements à son collègue d’Hoedic Pierre Blanchet, le 12 février 1729. Son ministère à Houat va durer 5 ans. Il retournera sur les îles puisqu’on le retrouve à Hoedic en 1732.

De 1730 à 1740

1730-dominique-le-gurun1730-dominique-le-gurunDominique LE GURUN, succède à Olivier Guimarho. Il est le fils de Louis Le Gurun et d’Olive Fardel, tous deux originaires de Houat où il naît également. Son premier poste comme simple prêtre est son île natale, il a alors 24 ans. Puis il est nommé vicaire de Saint-Goustan de Rhuys le 4 novembre 1740. Il reviendra à Houat le 25 septembre 1742 pour enterrer Catherine le Palmec, épouse d’André Le Gurun. Il décède au presbytère de Saint-Gildas le 14 octobre 1744. Il est alors âgé de 39 ans.

En 1740

N. HERVIEUX, qui est curé d’Hoedic depuis 1734, est nommé curé des deux îles pendant une brève période. Il signe l’acte de décès de Julienne Mahéas à Houat en décembre 1740.

De 1741 à 1742

fr-le-turtour-1741-1742-houatFr. LE TUTOUR fait un bref passage à Houat en tant que curé. Son premier acte enregistré est le baptême de François le Palmec, le 17 juin 1741 et son dernier l’inhumation de Louis le Roux le 25 août 1742. Par ailleurs, il supplée aux absences de N. Hevieux à Hoedic.

De 1742 à 1745

g-dorso-1742-1745-houatEnsuite, G. DORSO reste 3 ans à Houat. Son premier acte est le baptême de Pierre Le Gurun, le 6 octobre 1742. Le 13 novembre, il procède à l’inhumation de trois habitants de Belle-Île « péris sur les côtes de Houat ». Son dernier acte est l’inhumation de louis Le Roux le 3 décembre 1745.

En 1746

En 1746, N. HERVIEUX supplée de nouveau à l’absence de au manque de prêtre à Houat en mars et avril 1746.

La période de 1746 à 1750

fort-beniguet-houatPendant la période de 1746 à 1750 pas de registres des naissances et des décès. Cette situation est due à l’exode des habitants de l’île de Houat après le sac des îles par les anglais. « La flotte anglaise met le cap à l’est de Lorient pour commencer à attaquer plusieurs points de la côte. La presqu’île de Quiberon est occupée et pillée du 14 au 20 octobre 1746. Des attaques sont ensuite perpétrées contre les îles d’Houat, le 20 octobre, et Hoëdic, le 24. Les défenses érigées par Vauban sur ces îles sont prises sans combat et dégradées. Belle-Île-en-Mer subit un blocus jusqu’au départ de l’escadre le 29 octobre ».

De 1752 à 1780

1752-Jean-Le-Roux-cure-houatEn 1752, Jean LE ROUX, très probablement originaire de Houat, apporte la stabilité dans la desserte ecclésiastique de l’île. Les Houatais ont bien besoin de la présence d’un curé en qui ils peuvent avoir confiance. En effet, ils subissent durement les troubles de la guerre de 7 ans (1756-1753) et les anglais qui règnent sur les mers, mettent les îliens en première ligne pour assister à la désastreuse bataille des Cardinaux en novembre 1759. « Messire Dom Jean Le Roys (Le Roux) prêtre de Houat s’étant retiré dans une maison qu’il avait en cette île, ont avoit cédé le presbytère à des officiers français qui y étoient en garnison, et comme il arriva par un accident involontaire qu’il fut brûlé. (…) En sorte que Messire de Houat lorsqu’après la paix de Versailles, il revint à son île avec ses ouailles, il se vit sans presbytère ». En 1766, les îliens bâtissent un sanctuaire à l’endroit de l’église actuelle. Jean LE ROUX décède le 13 octobre 1780 à l’âge de 57 ans et c’est le prêtre de Hoedic, Jean Surzur, qui procède à son enterrement. Son ministère aura duré 28 ans.

De 1780 à 1785

1780-le-manour-guillotine-vannes-rogueYves LE MANOUR, remplace Jean Le Roux. Né à Rumengol le 17 mai 1741, il est ordonné au Méné le 4 avril 1778. Au début de 1783, l’antique dépendance des îles de la paroisse de Saint-Goustan de Rhuys est supprimée. Houat devient une paroisse ayant Hoedic pour trêve et Yves LE MANOUR est nommé « Recteur des îles ». Il supplée à la défaillance du curé d’Hoedic, M. Puillon, très malade depuis deux ans. Son dernier acte date du 27 août 1785 pour l’inhumation de Gildas Le Gurun. Il devient ensuite prêtre « libre » (réfractaire) à Languidic. Arrêté à l’Île-aux-Moines en novembre 1795, il est emprisonné au Petit Couvent de Vannes et guillotiné à Vannes, place du Marché, le 1er janvier 1796.

De 1785 à 1786

1785-croix-hoedic-1933Avant l’arrivée d’un nouveau prêtre à Houat, Jean LE LOSTEC, curé d’Hoedic, assure le service des deux îles. Mais il y a bien sur du « flottement » et ce sont les habitants de Houat qui, faute de curé, inhument Mathurin Le Gurun le 15 décembre 1785.

De 1786 à 1795

1786-lorcy-houat

Jean Marie LORCY, originaire de Moustoir-Radenac, près de Locminé, est recteur de Houat à partir de 1786. Il apparaît la première fois dans les registres pour le baptême de Jean-Marie Le Gurun le 4 juin. C’est lui qui va faire construire la partie la plus ancienne, du presbytère actuel (bâtiment nord-est, direction La Fontaine). Le 12 janvier 1790, il procède, assisté de Jean Marion, curé d’Hoedic, à l’inhumation de cinq habitants de Houat, noyés sur la côté d’Hoedic, la sixième victime ayant été portée disparue. En 1793, l’île est visitée par des « terroristes ». Alors que Jean Marion arrive à échapper à la traque des prêtres réfractaires, le recteur Lorcy est arrêté et emprisonné à la Citadelle de Port-Louis. En 1794, il est déporté à Rochefort où les détenus meurent dans des conditions effroyables. Il trouve néanmoins le moyen de s’évader en février 1795 et de revenir à son poste à Houat. Il s’y trouve au moment du tragique débarquement des Émigrés à Quiberon et « cède généreusement le presbytère à M. de Puissaye. Dévoué au soulagement des blessés, mais une maladie épidémique s’étant déclarée, il meurt à Houat le 26 octobre 1795 » et où périssent douze cent personnes dont des Houatais et des survivants de l’expédition de Quiberon. Il a alors 34 ans. Son ministère à Houat aura duré près de 10 ans.

En 1795

En 1795, M. de SAINT DO arrive à Houat. Il y fera le plus bref séjour : seulement quelques jours ! Il est remplacé par M. LE BRIZ.

De 1796 à 1820

marion-recteur-hoedic A partir de 1786 et jusqu’en Février 1820 la paroisse est confiée en alternance au recteur d’Hoedic, Jean MARION (1759-1824).

De 1799 à 1802

M. LE SCOUARNEC et M. LORÉAL sont successivement les recteurs de Houat.

En 1801

julien-francois-huby-1801-houatLe 8 décembre 1801, le recteur Julien-François HUBY.

En 1802

M. François ORGEBIN est nommé recteur de Houat en 1802. Arrêté avant sa prise de fonction en tant que prêtre insermenté (réfractaire), il n’exercera jamais à Houat.

De 1802 à 1806

jean-marion-1802-1806-houatDe 1802 à 1806 la paroisse est à nouveau sans prêtre, le recteur d’Hoedic Jean MARION assure le culte quelques fois.

De 1806 à 1809

De 1806 à 1809, M. Guillaume LE CALVÉ est recteur à Houat.

De 1809 à 1819

roussel-1809-1819-houatA nouveau une année sans prêtre, puis à partir de 1810, on note la présence régulière d’un recteur à Houat, M. Jean ROUSSEL, jusqu’en 1819.

De 1819 à 1829

nicolas-maheo-1819-1829-houatM. Nicolas MAHÉO

De 1810 à 1820

M. Simon MATHURIN

De 1832 à 1837

1832-KersahoLe recteur Jérôme KERSAHO officie à Houat de 1832 à 1837. Il est à l’initiative de la création de l’école en 1831, envoyant Brigitte Le Gurun à Auray pour y achever son instruction.

De 1837 à 1838

simon-corchouan-1837-1838-houatM. Simon CORCHOUAN

De 1838 à 1854

1838-capitaine-recteur-eglise-houat-BM. Joachim CAPITAINE est recteur à Houat de 1838 à 1854. Il agrandit l’église et rénove le presbytère.

De 1854 à 1859

1854-goff-recteur-clocher-houatM. François LE GOFF est recteur à Houat de 1854 à 1859. Il fait construire le clocher en 1856.

De 1859 à 1866

armand-celo-1859-1866-houatM. Armand CÉLO

De 1866 à 1872

1866-yvon-mobilier-eglise-interieur-houatMr Joseph YVON est recteur de 1866 à 1872. Il fait fabriquer le mobilier de l’église : la chaire, le confessionnal, la sainte table de communion et la balustrade de la tribune.

De 1873 à 1877

joachim-audo-1873-1877-houatM. Joachim AUDO

De 1877 à 1883

abbe-lavenot-1877-1883-houatL’abbé LAVENOT, originaire de Port-Navalo et ancien vicaire de Quiberon, est recteur de Houat de 1877 jusqu’à fin octobre 1883. C’est le « règne de l’abbé Lavenot ».

De 1883 à 1888

M. Maurice GOURON

De 1888 à 1896

M. Désiré LE BELLEGO

De 1896 à 1905

M. Prudent LE GLOHAHEC est recteur à Houat de 1896 à 1905.

De 1905 à 1909

M. Mathurin OLIVIÉRO

De 1909 à 1913

M. Xavier GLEYOS de la CHESNAYE

De 1913 à 1921

M. Cassius Aimé LE SENNE

De 1905 à 1929

M. Joseph LE BEC est recteur à Houat de 1922 à 1929. Il procède à l’inhumation de Joseph Marie Le Gurun (45 ans) et de son fils Cyprien (18 ans), naufragés à bord du « Santa Maria » le mercredi 18 août 1926. Joseph Marie laisse après lui sa veuve Adèle Le Gurun et quatre enfants dont Léonard Le Gurun, qui sera vicaire à Ploemel.

De 1929 à 1937

1929-louis-le-cam-recteur-houat Louis Marie LE CAM est nommé « Recteur des îles » le 2 mars 1929. Il quitte l’île en 1937.

De 1937 à 1945

1937-Lorec-recteur-HouatLe recteur Valéry Jean LOREC, né à Le Palais en 1898, succède au recteur Le Cam à Houat en décembre 1937.

De 1945 à 1950

1945-houat-canonLe recteur Marcel Mathurin LE BOLAY, originaire de Bubry, est nommé à Houat en septembre 1945.

De 1950 à 1952

1950-martin-recteur-houatLe recteur Louis Michel MARTIN, né à Port-Louis, est nommé à Houat fin août 1950.

De 1952 à 1958

1952-joseph-morio-abbe-houatL’Abbé Joseph MORIO, né à Plescop en 1908, est nommé à Houat fin septembre 1952.

De 1958 à 1965

1958-adrien-bulot-recteur-houatL’Abbé Adrien BULOT, né à l’île d’Arz en 1913, est nommé à Houat début décembre 1958.

De 1965 à 1972

1965-recteur-marquer-houatLe recteur Joseph Hervé Marie-Anne MARQUER, né à Questembert en 1924, est nommé à Houat en septembre 1965.

De 1972 à 1979

1972-abbe-bily-houatL’Abbé Marcel Marie BILY, né à Sarzeau en 1925, est nommé à Houat début septembre 1972.

De 1979 à 1984

1979-le-corre-abbe-houatL’Abbé François LE CORRE, né à Kergrist en 1932, est nommé à Houat fin juillet 1979.

De 1984 à 1990

1984-daniel-moizoLe Recteur Daniel MOIZO, né en 1941 à Taupont, est nommé à Houat fin juillet 1984. Il est à la fois recteur et secrétaire de mairie, le « dernier de la série » (sic). Après trois ans passés sur le continent, il exerce de nouveau dans les îles : à Groix pendant sept ans et à Belle-Ile pendant six mois.

De 1990 à 1999

1990-abbe-jourda-houatL’abbé Pierre-Yves JOURDA, né à Monpellier en 1936, est nommé à Houat et Hoedic en 1990.

De 1999 à 2020

1999-Lanoe-recteur-houatLe recteur Jean-Noël LANOË, né à Lorient en 1936, est nommé à Houat en 1999.

A partir de 2021

recteur-houat-Joel-Joubaud-3-10-2021 Le recteur Joël JOUBAUD, né à Bains-sur-Oust (35) en 1955, est nommé à Houat et Hoedic début octobre 2021.